Avant toute chose, comme l'expliquait Claude Sabbah, il est important de se souvenir qu’en décodage, l'une des rares fois où il est possible de tomber malade, sans nécessairement avoir le conflit ou le réparer, est justement quand nous sommes confrontés à des microbes inconnus de notre mémoire ou étrangers à l’endroit du monde où nous vivons…
Néanmoins, en constatant l'hyper-réaction qu'a provoqué, dans notre société, ce nouveau virus (confinement, arrêt du pays etc.), il peut être intéressant de regarder à quelles mémoires personnelles ou familiales nous nous adaptons ou s’adapte notre société par cette pathologie. Il peut être également intéressant de voir ce que cette pathologie est venue nous enseigner à nous, et à notre société qui en a peur actuellement.
Par la physiopathologie
Physiopathologie du COVID 19
Dans cet article je ne vais parler que de la partie pulmonaire, celle qui entraine des pneumonies. Le virus s’attaque aux cellules du poumon et provoque (principalement) des pneumonies.
Physiologiquement, dans le poumon :
les cellules à mucus sécrètent le mucus qui permet de piéger les particules étrangères, afin qu’elles n’endommagent pas les alvéoles pulmonaires.
les cellules ciliées permettent l’évacuation du mucus et surtout des virus, pollen, ou autres particules étrangères que le mucus a bloquées.
Dans les pneumonies, nous avons une atteinte du parenchyme pulmonaire c'est-à-dire de la partie intime du poumon composée des bronchioles et des alvéoles pulmonaires. Les bronchioles permettent à l’air de parvenir aux alvéoles pulmonaires. Un des principaux symptômes est la toux sèche.
A priori, le coronavirus s’attaque d’abord aux cellules ciliées en les bloquant. Il y a donc une stase du mucus et surtout une accumulation de ce qu’il contient. Le système immunitaire entre ensuite en jeu, provoquant une inflammation. L’inflammation rend la membrane entre le poumon et les vaisseaux sanguins plus perméable. Cela peut ainsi remplir de fluide les poumons, diminuant également l’oxygénation du sang.
Le mucus bloque les particules étrangères et les empêche de parcourir les bronchioles et de détruire les alvéoles. En transposé, nous pouvons donc y voir l’image d’une tentative de bâtir un mur, une barricade pour empêcher l’extérieur d’entrer dans notre espace vital et de nous agresser dans notre intimité, en ajoutant à ceci un désir de le repousser au loin pour se sentir en sécurité (la toux).
Ainsi, il est donc possible de voir dans le coronavirus, la mémoire personnelle ou familiale d’un sentiment d’être envahi par quelqu’un ou quelque chose dans une partie de sa vie : « je me sens envahi dans mon espace intime et vital. » Il peut y avoir un besoin de stopper, piéger, éliminer (le mucus) et expulser (la toux) quelqu’un ou quelque chose (les particules étrangères) que l’on vit comme envahissant dans notre espace vital (alvéoles pulmonaires) : « je veux stopper cette agression, cette invasion qui menace mon espace vital, ma liberté… »
Le coronavirus peut inviter à mettre des limites, des règles à l’autre sans l’agresser, pour préserver son intimité, sa sécurité et sa liberté.
Il peut inviter à retrouver et à se reconnecter à sa partie intime, à se préserver de l’extérieur pour se retrouver avec soi-même. Se retrouver pour pouvoir redéfinir ce qui nous met en Vie et le proposer au monde. Le confinement qu’entraine cette pathologie peut d’ailleurs en être l’expression ultime.
Par la symbolique
Nous avons du feu (l’inflammation) dans les poumons et, avec la perméabilisation des membranes, nous avons également de l’ « eau » (des liquides) qui entre dans les poumons… Il peut donc y avoir une image symbolique de feu à éteindre dans le poumon (puisque c’est l’inflammation qui provoque la perméabilité de la membrane).
Or, le feu peut être associé en négatif, à la violence, à la mort ou à l’enfer.
Ainsi, le coronavirus pourrait nous parler de violence (le feu) dans une partie de notre vie (les poumons) que nous souhaiterions éteindre (l’eau) ; de grande souffrance, d’enfer dont nous aimerions nous échapper…
En positif, le feu évoque l’amour, la chaleur et la communication… il peut donc y avoir dans le coronavirus un rêve de s’extraire de la violence pour vivre plus d’amour. Cela peut inviter à communiquer plus pour s’extraire de la violence et retrouver la bienveillance et la chaleur dans son rapport à l’autre. Cela peut aussi inviter à refuser l’agression, à la fuir et donc à être plus bienveillant avec soi-même…
De plus, dans les pneumonies, la perméabilité de la membrane amène une diminution de l’oxygénation du sang… d’où les essoufflements et la difficulté de s’oxygéner. L’air est donc bloqué.
Symboliquement, l’air (et le feu) représente le père, tandis que la mère est représentée par l’eau et la terre. Ainsi, le coronavirus peut proposer comme mémoire personnelle ou familiale :
« je veux empêcher mon père d’entrer dans mon intimité, dans mon espace vital pour me faire du mal »… Avec les fluides qui entrent, nous pourrions même dire « j’aimerai que ma mère empêche mon père de me faire du mal »
« Je veux empêcher cet homme d’entrer dans mon intimité, dans mon espace vital pour me faire du mal »
« Je veux empêcher une autorité d’entrer dans mon intimité, dans mon espace vital pour me faire du mal »
violence qui entraine une peur d'aimer
Il peut s’agir des mêmes conflits mais tournés vers l’autre :
« Je veux empêcher cet homme, ce père, cette autorité d’entrer dans l’espace vital, dans l’intimité de cette personne que j’aime, pour lui faire du mal »
Par ailleurs, le mot coronavirus vient de corona : la couronne. Il peut donc raconter symboliquement, un désir de retrouver sa couronne, sa puissance, son pouvoir et le respect inhérent à cette place. Cela peut donc révéler en sous texte une sensation d’en avoir été dépossédé et peut exprimer un besoin ou un désir de reprendre le contrôle de sa vie, de son espace vital, en empêchant des éléments extérieurs de nous en priver.
Dans ma vision de la maladie, celle-ci est porteuse d’enseignements et de messages. Pour trouver et lire le texto que nous envoie la Vie, il est possible de transposer les modifications de notre corps dans notre vie, afin de voir si, en les appliquant, nous pourrions ne plus avoir à les vivre dans notre corps. C’est ce que j’ai appelé la « leçon de vie de la maladie. »
A ce niveau le coronavirus peut donc venir nous demander de réapprendre :
à placer et à exprimer (sans agresser) nos limites à l’autre (mucus, toux sèche, mais aussi eau) ;
à communiquer avec bienveillance (les bronchioles et le feu en positif) sur nos limites (le mucus) et édicter nos règles, pour que chacun puisse se sentir en sécurité et respecté dans son intimité et intégrité (les alvéoles pulmonaires) ;
à placer et respecter ses limites pour pouvoir s’ouvrir à nouveau à l’autre (la perméabilité) et pour pouvoir remettre de l’amour (le feu en positif) dans sa vie (les alvéoles pulmonaires) et dans sa relation à l’extérieur (les particules étrangères), en toute sécurité ;
à apprendre à exprimer nos limites tout en étant attentifs à entendre celles de l’autre pour que l’intimité, l’espace vital et la liberté de chacun puissent être respectés.
Attention :
Les particules étrangères restent dans le poumon et créent l’infection donc le feu. Le coronavirus peut donc inviter à retrouver la capacité à entrer en contact avec l’extérieur, en plaçant les limites pour se préserver et en prenant en compte celles de l’autre. Ceci afin de permettre de renouer un dialogue bienveillant et remettre de la chaleur entre les êtres humains. Elle ne nous invite donc pas à nous couper du monde, à nous replier sur nous même, mais à réapprendre à rentrer en contact avec lui, grâce au respect de ses propres limites et au respect des limites de l’autre.
En voyant ce que nous enseigne cette maladie, je me dis qu’une discipline comme la CNV, la communication non violente, peut avoir un rôle important à jouer et être une clé importante dans cette période de notre histoire, pour permettre à chaque individu et à l’humanité d’avancer (pour info, je n’ai aucun lien avec la CNV).
Enseignement du corona virus à l’échelle mondiale.
De ce que nous savons, nous vivons une épidémie mondiale. Le coronavirus peut donc envoyer un message à l’ensemble de l’humanité.
Les poumons au travers de l’Oxygène représentent la vie. En transposé, cela peut donc nous parler de notre vie mais, au niveau mondial, cela peut parler de la Vie en général, c'est-à-dire de l’ensemble du vivant sur terre.
Cette maladie, par sa physiopathologie, peut donc nous inviter à stopper (le mucus) la pollution (les particules étrangères) qui détruisent la Vie (les alvéoles pulmonaires) et intoxiquent la Terre, (le corps). Elle peut nous inviter à cesser d’être violents (le feu) envers la Vie, envers la terre (les poumons et le corps) et à réapprendre à l’aimer, à la considérer (le feu) et surtout à respecter son intégrité et sa place (corona : la couronne).
Le coronavirus peut alors être vu comme un appel puissant de la Vie, un message adressé à l’Humanité pour qu’elle cesse de détruire son espace vital, pour qu’elle arrête de détruire la planète.
D’ailleurs, un des premiers effets du coronavirus à grande échelle est d’avoir fortement diminué la pollution en Chine et ailleurs par l’arrêt des activités humaines. C’est aussi lui qui nous démontre qu’il est possible pour les gouvernements d’agir rapidement et radicalement pour faire baisser la pollution et préserver notre planète et qu’il suffit d’en avoir la volonté….
Par la physiopathologie, le coronavirus peut également inviter à repenser la mondialisation ou plutôt l’hyper-mondialisation, pour redonner plus de place au local, plus d’importance à un espace vital. Repenser la notion de pays, de région, de souveraineté (corona), de frontières (le mucus)... Non pas pour exclure l’autre et se renfermer sur soi même, mais pour pouvoir recevoir mais aussi apporter sa différence, sa particularité au monde et ainsi l’enrichir et éviter que celui-ci ne devienne uniforme…
Au niveau sociétal
Le monde étant touché par cette épidémie, il peut être intéressant de regarder ce qu’elle peut raconter au niveau sociétal. C'est-à-dire comprendre l’ambiance, les gros stress, les évènements dans un passé proche auxquels a pu s’adapter notre société par cette épidémie.
Je ne peux pas parler du cas de la Chine, n’étant pas suffisamment au fait de ce qui s’y passe. Et surtout, mon regard d’occidental diminue ma faculté à percevoir ou biaise ma vision sur ce que vivent et ressentent les Chinois au quotidien, dans le régime dans lequel ils vivent.
Prenons des évènements possibles pouvant être liés à l’épidémie.
Quand nous reprenons le conflit donné par la physiopathologie :
bâtir un mur, une barricade pour empêcher l’extérieur d’entrer dans notre espace vital et de nous agresser dans notre intimité.
« je me sens envahi dans mon espace intime et vital. »
« je veux stopper cette agression, cette invasion qui menace mon espace vital… »
Il est possible de faire un parallèle entre les conflits de ce virus et les craintes de notre société engendrées par les attentats de ces dernières années : « je veux empêcher ces agressions, cette violence de détruire mon espace vital et mon mode de vie »
Il est aussi possible de faire un parallèle entre ces conflits et la monté du nationalisme un peu partout dans le monde (Brésil, USA, Hongrie, Pologne, Italie, France…). Cette montée rendue possible par l’hyper-hystérisation du débat médiatique et politique autour de la question de l’Islam et/ou des réfugiés/migrants…
Il est d’autant plus possible de faire un parallèle entre le coronavirus et le nationalisme par l’étymologie de « corona » qui signifie couronne. Cette épidémie peut donc nous parler de souveraineté avec une crainte, pour certains, de la perdre et donc un besoin de la retrouver. Nous pouvons alors faire un parallèle avec la fameuse théorie du grand remplacement, régulièrement évoquée dans les médias. Nous pouvons également faire un parallèle avec la crainte de certains d’être envahis et leur volonté de fermer les frontières (le mucus) pour empêcher les « étrangers » (les particules étrangères) de rentrer et détruire leur mode de vie (les alvéoles pulmonaires). Aux USA, le mur de Donald Trump est un transposé parfait de cette maladie. En Europe, peut-être est-ce pour cela que l’Italie, en première ligne sur le sujet, est particulièrement touchée ?
De l’autre côté, cette violence du débat médiatique et politique quotidienne peut provoquer, en miroir, chez les réfugiés ou les musulmans les mêmes ressentis. En effet, ces débats sans fin peuvent les mettre dans un sentiment d’insécurité causé par la sensation que leur loyauté est sans cesse remise en cause et par la sensation d’être systématiquement jugés, stigmatisés et agressés dans ce qui est le plus intime pour eux : leur foi, leur croyance, leur religion.
Ainsi, d’un côté ou de l’autre, il peut y avoir les conflits du coronavirus c'est-à-dire un sentiment d’insécurité avec une sensation ou une crainte de voir son espace intime et son mode de vie être attaqués voire anéantis et sa liberté être réduite, limitée, annihilée par l’autre :
pour les nationalistes français, l’espace vital peut être ce qu’ils considèrent être « leur » pays et le mode de vie, ce qu’ils décrivent comme étant la « culture et les traditions Françaises » ;
pour les musulmans français, l’espace intime attaqué pourrait être la pratique libre et sereine de leur foi et leur amour de la France (exemple : les débats sur le voile a l’université, dans les sorties scolaires, dans la rue…)
Le coronavirus révèle donc chez chacun le même désir profond. Cependant les violences commises par certains au nom de leurs causes respectives peuvent générer le stress lié au coronavirus et donner la sensation à l’autre camp que c’est cet autre qui empêche ce souhait de se réaliser.
D’où l’importance d’écouter la leçon de vie du coronavirus en sortant vite des débats médiatiques clivants, violents basés sur le « clash » et le « buzz », pour retrouver un dialogue apaisé avec l’autre ; un dialogue bienveillant visant à permettre à chacun d’exprimer ses limites, ses besoins, ses aspirations et d’écouter ceux des autres. Ceci afin d’établir un cadre satisfaisant pour tous, faire disparaître la peur et permettre à chacun de vivre sa différence, son intimité en toute sérénité et sécurité.
Autres évènements importants :
Reprenons les conflits par la physiopathologie ou par la symbolique :
« Je veux empêcher l’homme d’entrer dans mon espace intime pour me faire du mal »
« Je veux empêcher l’autre de m’envahir… »
Par ces pistes, il est donc également possible de faire un parallèle entre ces conflits et ce que le monde entier a vécu, et vit encore, avec la libération salvatrice de la parole des femmes et leur révolte contre les discriminations, les violences et les intrusions qu’elles subissent dans leur intimité au quotidien, depuis la nuit des temps (grâce aux mouvements « metoo » ou «balance ton porc »,…).
Le coronavirus peut alors raconter : « Je veux retrouver ma couronne, être considérée et respectée comme une reine intouchable sans ma permission, et retrouver le contrôle de mon corps, de ma vie, de mon intimité, sans que quiconque n’ose me rabaisser, m’humilier, me violenter, m’agresser et encore moins... me violer. » Et c’est alors la crainte ou la sensation de ne pas réussir à faire entendre pleinement ce message ou la peur qu’il soit oublié une fois entendu qui peut être lié aux conflits du coronavirus.
Naturellement, toute libération peut entrainer en réaction, une résistance chez ceux que cette libération ou que la forme qu’elle prend, inquiètent ou dérangent. Ils peuvent alors ressentir également une crainte d’être envahis et limités par cette libération et vivre la parole de l’autre comme une agression ou un jugement sur leur mode de vie. Pour certains, cette libération peut entrainer la peur de perdre les privilèges que leur assuraient leur statut de dominant.
Ainsi, d’un côté comme de l’autre, il peut y avoir une sensation d’être menacé et envahi dans son intimité avec un besoin de stopper la violence de l’autre, pour rester en sécurité et continuer à vivre sa liberté.
Ces pistes sont également transposables au combat et à la libération de la parole des « minorités » (racisés, LGBT+…). Ces minorités se structurent de plus en plus pour faire entendre leurs voix, lutter contre les discriminations dont elles sont victimes depuis longtemps, obtenir l’inclusion et les mêmes droits que les autres. Là encore cette libération peut engendrer, en réaction, une résistance chez ceux que cette libération inquiète ou dérange activant les même pistes en miroir.
Naturellement, pour un pays comme la France, il est aussi possible de faire un parallèle entre les importants mouvements sociaux (gilets jaunes et mobilisation contre la réforme de retraites) et les conflits du coronavirus : se protéger des violences policières, judiciaires, politiques… bloquer la destruction du système qui leur paraît juste (retraite, santé…).
Là encore, en réaction, il peut y avoir de l’autre côté, les mêmes ressentis chez ceux qui ont peur des gilets jaunes en raison des violences qui leurs sont attribuées.
Enfin, comme nous l’avons évoqué avant, il est également possible d’appliquer ces pistes à la planète et à la lutte pour sa préservation : je veux empêcher la pollution humaine de venir détruire la planète, la Vie… Avec là encore, l’activation, en retour, de résistances de personnes pouvant ressentir cette lutte comme une agression envers leur mode de vie…
Ainsi, au niveau sociétal, le coronavirus peut être une réponse à l’hyper-polarisation chaque jour plus forte de notre société ; une adaptation au clivage de notre société ; une solution à l’affrontement de plus en plus fort et radical de deux camps que tout parait opposer. Chaque jour stimulée par les médias et les politiques depuis plusieurs années et renforcée par la violence et la désinhibition de la pensée sur les réseaux sociaux, cette polarisation a donc pu créer le climat de tension et de stress suffisant pour que ce virus puisse faire son œuvre…
Le coronavirus parle donc de deux camps paraissant irréconciliables qui réclament pourtant la même chose : la sécurité et la liberté de vivre sa vie comme il l’entend sans être agressé pour cela.
Le blocage peut venir du fait que chaque camp a la croyance plus ou moins réelle que l’autre camp veut l’en empêcher. Les conflits intérieurs décrits précédemment sont alors exacerbés et toute la société les ressent : « empêcher l’agression, l’invasion de l’autre dans son espace intime et tenter de le repousser dehors pour pouvoir continuer à être libre. » D’ailleurs, au niveau sanguin, le coronavirus provoque une baisse des plaquettes qui peut renvoyer à une désagrégation du clan… du pays ?
Aucune solution ne semblant pouvoir venir réconcilier tout le monde dans la vie réelle, on applique cette protection dans notre corps par le coronavirus…
C’est pourquoi, comme nous l’avons déjà évoqué plus tôt, le coronavirus nous invite à recontacter notre intimité, ce qui est essentiel et vital pour nous dans la vie en général, pour pouvoir ensuite remettre du dialogue, de la communication bienveillante, de l’amour en lieu et place de cette violence, de ces débats visant à tuer l’autre et non à le comprendre. Ceci afin de respecter l’intégrité de tous et permettre à chacun de vivre sa liberté, ce qu’il aime, en toute sécurité avec l’autre et non contre lui…
PS
Au niveau de la Chine, cela pourrait être la résultante de la nouvelle politique chinoise de crédit social où chaque citoyen gagne ou perd des points suivant ce qu’il fait dans l’espace public. Ces points étant distribués grâce à la reconnaissance faciale à grande échelle… L’intrusion dans l’intime est alors à son paroxysme. Mais là encore, j’ignore comment est reçue et perçue cette nouvelle politique… J’ignore donc si le coronavirus peut parler de cela ou des Ouighours enfermés ou encore d’autres choses qui m’échapperaient complètement.
Source pour la Physiopathologie du COVID 19 : https://www.nationalgeographic.fr/sciences/2020/03/coronavirus-que-se-passe-t-il-dans-votre-corps-si-vous-en-etes-atteint/amp
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